Egypte : Louxor - Assouan - Abu-Simbel au fil du Nil. Avril 2005

Edit :Photobucket ayant supprimé toutes mes photos je me vois contraint de republier ce sujet. 

Fuckbucket

Une nouvelle fois je réécris totalement un sujet déjà édité mais ensuite perdu. Cependant c'est dans ce cas pour un mieux car à l'époque je n'avais pas posté beaucoup de photos ni de commentaires sur Overblog. Je vais rattraper ça !

Parti avec des souliers de plomb, juste pour ne pas laisser trois femmes partir seules (Nicole, sa sœur Christine et sa filleule Sarah) je me suis donc retrouvé dans la région qui m'attire peu. Nous logions sur un de ces innombrables (et improbables) bateaux de croisière qui nous a emmenés au fil du Nil de Louxor jusque Assouan puis en car à travers le désert jusqu'Abou-Simbel et retour.

Petit à petit, les traces de ce qui fut il y a plusieurs millénaires le centre du monde m'ont emporté. Je n'y retournerai pas car l'Egypte du 21è siècle n'a rien d'attirant mais j'ai vraiment été fasciné par cette grandeur d'un peuple qui vivait sur les rives du fleuve dans le désert. De nos jours, depuis la construction du barrage d'Assouan une catastrophe écologique remplace la fertilité apportée par les crues. Il faut vivre avec son temps, n'est-ce pas ?

A Louxor : Les temples de Louxor et Karnak 

Les Vallées des Rois et des Reines. Vu l'affluence, j'ai laissé ma place pour la visite des tombeaux sans regrets. On voit là l'entrée des dernières demeures de Ramsès IX, Toutmosis IV, Sethi 1er, Ramsès 1er, Amenmes, Toutankhamon, Merenpath, Ramsès IV, Ramsès III, Sethi II etc.

Le temple d'Hatchpsout

C'est parti. Première escale : le temple d'Edfou

Pays Nubien : Les cataractes du Nil, Assouan, une carrière où un obélisque inachevé est encore visible, le temple de Philae. (le "petit" temple de Philae devait être noyé par les eaux du barrage, il a donc été démonté pierre par pierre et remonté sur une île sur le lac.)

Abou Simbel. Ces temples taillés dans la roche se situaient sur les rives du Nil. La construction du barrage d'Assouan les aurait noyés. Il a donc fallu découper la montagne en blocs et remonter le tout de 60 mètres puis reconstituer ces merveilles en les adossant à une colline artificielle. C'est le moins qu'on pouvait faire.

Retour par le même chemin puis survol du pire à nos yeux : Hurghada sur la Mer Rouge.